novia Actif
Nombre de messages : 27 Ton équitation : éthologique, voltige, extérieure et classique (option pour le lycée) Humeur : pêchattitude !! Date d'inscription : 28/03/2007
| Sujet: Djinn Lun 19 Nov - 11:42 | |
| J'ai écris ce texte au collège en à peine 10 mins, l'inspiration peut-être ???? DJINN Djinn mon bébé Avec ta crinière dorée, Et tes allures enchantées. Djinn mon chéri Tu es entré dans ma vie, Et tu m'as souris.
Djinn mon amour Je t'aimerais toujours !!
by me ^^ vous en pensez quoi ?????? | |
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mimichval Fidel
Nombre de messages : 61 Age : 30 Ton équitation : Classique, je me suis essayée a l'équitation ethologique et j'aimerais faire du western =) Humeur : Ben...ca dépend des jours!! Mais généralement, de bonne humeur ! ^^ Date d'inscription : 17/03/2007
| Sujet: Re: Djinn Mar 20 Nov - 10:07 | |
| c'est rapide, ca exprime tes sentiments, c'est cool ! | |
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Ninichval Admin
Nombre de messages : 187 Age : 32 Ton équitation : Classic,voltige... Humeur : (95/100) Date d'inscription : 11/03/2007
| Sujet: Re: Djinn Mer 21 Nov - 9:49 | |
| Cour mais les rime son bien trouver ! Il menque un peu de vocabulaire équin enfin ,mes un mot commme cheval galop ... Tu peu essailler d'en refaire selui la est dejat bien ! | |
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lili Visiteur
Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 23/07/2008
| Sujet: Re: Djinn Jeu 24 Juil - 3:48 | |
| c tre bien est il est bo ton dada | |
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Legendary pegasus Actif
Nombre de messages : 28 Age : 31 Ton équitation : Simple, voltige Humeur : Chaoticohipique Date d'inscription : 14/02/2009
| Sujet: Re: Djinn Dim 26 Avr - 14:16 | |
| Djiin toi l'esprit, Sorti des mille et une nuits, Du haut de ce poème, Qui veut dire "je t'aime", Tu m'es apparu,
Et je dois dire que quand tu m'es apparu à travers ce poème je me suis dit pas mal, c'est joli! | |
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mimichval Fidel
Nombre de messages : 61 Age : 30 Ton équitation : Classique, je me suis essayée a l'équitation ethologique et j'aimerais faire du western =) Humeur : Ben...ca dépend des jours!! Mais généralement, de bonne humeur ! ^^ Date d'inscription : 17/03/2007
| Sujet: Re: Djinn Jeu 11 Juin - 12:28 | |
| WOW! Graines de poètes ;D | |
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novia Actif
Nombre de messages : 27 Ton équitation : éthologique, voltige, extérieure et classique (option pour le lycée) Humeur : pêchattitude !! Date d'inscription : 28/03/2007
| Sujet: Re: Djinn Sam 13 Juin - 7:09 | |
| voici une rédaction faite en ESC pour le lycée : sujet : décrivez un paysage ou vous vous sentez bien mon paysage : une prairie de firfol
LE BONHEUR EST DANS LE PRE
On ne décrit pas un paysage comme on décrit un fait ou une réalité, on doit le décrire telle une peinture, avec passion et poésie, ce doit être une invitation au voyage destinée au lecteur ! Je vous invite donc, vous qui lirez mes quelques lignes, à me rejoindre dans cet éden que je tenterais de dépeindre.
Je vous emmène en Normandie dans un pré où vit une centaine de chevaux. Il ne s’agit pas là d’une insignifiante prairie où quelques « canassons » passent leurs journées à brouter mais d’un extraordinaire pâturage où des irish cobs vivent en semi-liberté. Cette étendue d’herbe est belle de simplicité. Son charme réside en quelques arbres, un groupe de chevaux et de l’herbe qui se répand jusqu’au-delà de l’horizon. Ce panorama, en plus d’être sublime, constitue une partie de l’identité des « populations » qui l’occupent (ici les chevaux séparent leur domaine vital en plusieurs zones : zones d’abri, d’alimentation et de repos). Ce paysage se métamorphose en fonction de la saison, de l’heure, de l’angle de vue. De plus, la trace de l’homme est moindre, seule une clôture électrique attenante à une barrière en bois nous rappelle que l’être humain est présent mais qu’il peut rester discret. Les lignes courbes s’entremêlent créant ainsi une sensation de bien-être, d’apaisement et de sérénité. Mais cet espace n’est pas infini, il est limité par la rectitude de la barrière qui encadre le pré. Clôture protégeant ou emprisonnant un tel espace ? Probablement les deux. Néanmoins, ce lieu est magique !
On parle de paysage en présence de la ligne d’horizon, mais ce matin un épais brouillard nous empêche de l’observer. Une légère brise me caresse le visage. Une sensation de fraîcheur m’envahit. Pour me réchauffer je décide d’entrer dans ce pré et de m’y promener. J’empoigne la clôture et … AÏE ! Elle est électrique ! Je la jette violemment au sol pour me dégager. Le fil électrique sur le sol crépite en rythme. Cette fois je saisis délicatement la porte de la prairie et l’ouvre dans un grincement nasillard. Je referme le tout en prenant garde de ne pas recevoir une nouvelle décharge. Le sol est humide et gluant. La rosée sur l’herbe m’enivre. Au loin je parviens à distinguer de drôles de formes. Un hennissement résonne. Les ombres que je discerne à l’horizon sont des chevaux. Mais la brume est si épaisse que je ne peux qu’apercevoir leur silhouette. Je souhaite les approcher … sentir leurs crins entre mes doigts, leur chaleur sous mes mains. Pour les apprivoiser, je prends parti de rester ici. À quelques pas de là, j’aperçois un petit talus. Au moment de prendre place, je m’aperçois que mon tas de terre est en réalité un monticule de crottins. L’odeur étant peu accommodante, je décide me poser un peu plus loin.
Le jour s’est levé et le brouillard dissipé. Je découvre avec émerveillement ces chevaux : noirs, blancs tachetés, crins foisonnants, sabot large. Abasourdie devant une telle élégance, je ne les quitte plus des yeux, comme hypnotisée. Soudain une cavalcade assourdissante me sort de mes songes. Je sursaute et atterris … dans une flaque de boue. Je sens sur mon visage un souffle chaud, un cheval se tient face à moi. Je tends la main pour le caresser et, dans un coup de vent, il reprend le galop pour retrouver les autres. Dans sa course, il déterre quelques touffes d’herbe et écrase une taupinière. La boue sur mon visage ne me contrarie pas, elle devient presque agréable. Elle se craquelle sous les rayons du soleil qui caressent mon visage.
Quelques frissons m’envahissent. Le soleil rencontre la lune et lui cède sa place. Le vent se lève, frais et suave. Il joue avec le feuillage des arbres et la crinière des chevaux telle une harpe mélodieuse. Une fine rosée s’abandonne sur l’herbe grasse du pré et scintille au gré des étoiles qui l’illuminent. Tout est calme et silencieux, seule la complainte feutrée du vent résonne encore. Le voyage s’achève ici, à la porte du pré, là où tout a commencé …
bonnes vacances à ceux qui ont fini les cours et bons exams pour les autres !!!! | |
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